dimanche 20 septembre 2009

Les brèves

Finalement, la peine d'amour s'est transformée en petite déception, apparamment j'ai les nerfs moins à vifs qu'il y a cinq ans. Je suis (encore) en période de questionnement, à savoir qui je suis, qui je veux être, qui je veux aimer et qui je veux dans mon lit. Parfois, j'aimerais être capable de prendre des risques. À la place, je me saoule et je passe pour une parfaite folle sans tête devant des gars intéressants - c'est pas très glamour et encore moins sexy comme première impression.

Il y a aussi le paternel qui fait terriblement de la merde dans la vie de ma mère et, tranquilement pas vite, dans la mienne. C'est à croire qu'il a divorcé de moi en même temps que de son mariage.

lundi 7 septembre 2009

Je croyais qu'on ne vivait qu'une seule vraie peine d'amour dans une vie, celle qui déchire, qui questionne sur le sens de la vie. J'avais vécu la mienne à 15 ans, j'en fut torturée pendant une bonne année à pleurer un gars qui n'en valait probablement la peine. Ça laisse ses traces. Mais je croyais que j'avais fait mon tour et que ma vie ne serait maintenant parsemée de quelques déceptions facilement surmontables.

Si seulement j'avais eu raison. Cette fois-ci, c'est moins pire, c'est moins vif, mais bordel que ça énerve, que ça questionne. Tout dans ma personne semble à restructurer. J'ai pas envie de vivre une autre année comme ça. J'ai pas envie de le regarder aller comme ça, en essayant d'être gentille avec elle.